On peut se demander pourquoi ce fin musicien, apprécié de Ravel, est tombé en France dans un tel oubli. Désaffection d’autant plus incompréhensible que ses œuvres étaient autrefois jouées couramment et jouissaient de la faveur d’un public dont rien ne nous autorise à croire qu’il était moins connaisseur que celui d’aujourd’hui. Dans le livre qu’il a consacré à son père*, Serge Vellones ne rappelle-t-il pas qu’en mai 1938, « c’est en moyenne un jour sur deux qu’elles sont inscrites au programme des divers postes d’émissions radiophoniques » ?
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